Le Tigre
Le tableau du tigre est le tout premier de la série pour l’exposition Wanyama. Définitivement un défi d’envergure de par son grand format et aussi
Le projet Wanyama consiste à peindre des animaux de divers pays en m’inspirant des croyances et des perceptions des gens qui sont de la même origine que les animaux représentés. Cette nouvelle approche me permet de diriger ma démarche artistique vers de nouveaux horizons et en quelque sorte, d’humaniser mon sujet.
Le tableau du tigre est le tout premier de la série pour l’exposition Wanyama. Définitivement un défi d’envergure de par son grand format et aussi
Le tableau du zèbre est deuxième tableau de la série pour l’exposition Wanyama. Tout d’abord, j’ai consulté le texte de M. Joseph Muoki pour choisir
L’ exposition aura lieu, chez AXART, à Drummondville. Le vernissage sera le 1 septembre 2022 (à moins que vous savez quoi) de 17h00 à 20h00.
Le tableau de la maman Lémur est le troisième de la série pour l’exposition Wanyama. Madagascar est un sujet qui m’est familier, j’ai survolé de
Ci-dessous la traduction en français du texte de Tania Siglinde : Bercée pas la magnifique voix de mon amie Tania ainsi que par son récit, l’âne
Nombreux sont ceux qui connaissent mon amour des félins. Depuis les débuts de ce projet d’exposition, je rêve de cette panthère des neiges! En effet,
Grand incontournable de la savane! Ce fut un réel plaisir de peindre le lion, ce fantastique félin dans toute sa splendeur! Dans ce qui suit, je
Décidément, je réalise que ce projet d’exposition me fait sortir de ma zone de confort, un autre nouvel animal sur mon chevalet. Dans le cas
En règle générale, mes sujets de prédilection sont plutôt les félins et les oiseaux, celui-ci est une première sur mon chevalet. Coup de pinceau après
Décidément, je prends goût à m’inspirer de ces herbivores, après le panda, maintenant le cerf. Cependant, celui-ci est un animal qui nous est commun à
Les similitudes entre cet animal aux multiples reflets, le colibri et mon amie Tania, femme passionnée au grand sourire, m’ont paru bien appropriées. En effet,
Dernier tableau de cette belle aventure, la lionne de lune, une belle synthèse de mes apprentissages acquis tout au long de la conception de ce
Cette chère Tania, mon amie de cœur! Je l’ai connue il y a de ça maintenant vingt ans, lorsqu’elle faisait ses études en chant classique à l’Université de Sherbrooke. Une femme au grand cœur, passionnée et brillante, elle a toujours été pour moi une muse, une grande amie. Quelle joie j’ai ressentie quand elle a acceptée de créer avec moi, de là-bas, Oaxaca aux Mexique!
Diplômée en chant classique de l’Université de Sherbrooke (Canada), Tania a commencé son exploration musicale depuis l’enfance dans son Mexique natal, au sein de projets aux répertoires vastes et contrastés.
Elle a été membre fondateur du chœur d’enfants Schola Cantorum de México, très actif autant sur la scène locale mexicaine qu’à l’extérieur du pays. Au sein de ce choeur, elle a participé à des festivals à Cuba, aux Etats‐Unis, en Europe et en Asie.
Ayant ensuite élu domicile au Québec pendant plusieurs années, elle a prêté sa voix autant à des ensembles de musique classique (le Chœur Polyphonique de Montréal, le Chœur de l’Orchestre Métropolitain, Le collège vocal, entre autres), que de musique ancienne (Ensemble Mandragore), de chant grégorien féminin (Ensemble Virga) et de musique contemporaine et expérimentale (Chœur de chambre Tactus).
Elle mène également des projets indépendants de musique de différentes traditions du monde, telles les musiques traditionnelles mexicaine et latino‐américaine, les chants séfarades, le folklore québécois ou les polyphonies géorgiennes.
Sur le terrain de l’ethnomusicologie, entre 2005 et 2009, elle a assisté le professeur Gérald Côté lors de ses recherches sur des sujets aussi variés que l’enregistrement de musiques traditionnelles du Mali (Afrique) ; la participation à des projets culturels auprès des Cris et des Inuit dans le Grand Nord québécois ; et le recensement de matériel sonore d’appui à l’occasion d’une exposition au Musée canadien des civilisations sur l’héritage laissé par les musiques d’origine africaine dans la musique des Amériques. Ce regard ethnographique a nourri ses expériences personnelles et professionnelles auprès des minorités ethniques au Mexique, au Canada, en Inde, au Népal, au Vietnam et au Pérou.
Depuis 2007, elle se consacre également à des projets liés à sa deuxième passion professionnelle: la bibliothéconomie. Elle collabore auprès d’unités d’information spécialisées en musique, en arts du cirque, en théâtre, en danse, en nations autochtones et en éducation.
Ces oeuvres seront inspirées des textes de Mme XiaoMin avec qui j’ai pu travailler grâce à l’intervention de Mme Qiong He et de son organisme Pivot Sino-Québec qui offre des services pour faciliter les échanges entre la Chine et le Québec. Elle m’a mise en contact avec cette généreuse famille qui m’a décrit ce que représentait certains animaux dans leur culture.
Ces oeuvres seront inspirées des textes de Mme XiaoMin avec qui j’ai pu travailler grâce à l’intervention de Mme Qiong He et de son organisme Pivot Sino-Québec qui offre des services pour faciliter les échanges entre la Chine et le Québec. Elle m’a mise en contact avec cette généreuse famille qui m’a décrit ce que représentaient certains animaux dans leur culture.
C’est par l’entremise de M. Paul Laforest que j’ai pris contact avec M. Zanarison Zephyrin, qu’on appelle aussi Jeff, à Madagascar. Paul Laforest est le photographe avec qui j’ai exposé en duo en août 2019 à la Galerie du Vieux Saint-Jean à Saint-Jean-sur-Richelieu, une exposition intitulée « Les Yeux de Madagascar ».
« J’ai rencontré Jeff pour la première fois en 2013 lors de mon premier voyage à Madagascar. Pour ce voyage de 24 jours, Jeff était le guide de notre petit groupe de 18 personnes. Rapidement je me suis lié d’amitié avec lui.
La journée de notre visite du parc Isalo (16 kilomètres de marche), Jeff portait mon sac à dos et une de mes deux caméras. Comme je fermais la marche avec lui, nous avions la chance d’échanger, principalement sur les beautés de Madagascar. C’est durant cette journée qu’il m’a parlé des baobabs de Morondava et des Tsingy de Bemaraha.
Cette conversation m’a ramené à Madagascar en 2014 pour les baobabs de Morondava et les Tsingy de Bemaraha. En 2015, je me suis retrouvé au sud de Madagascar avec Jeff. J’y suis retourné en 2017 et 2019. À chaque fois je voyais Jeff. J’ai eu le plaisir de rencontrer sa femme, sa fille et son fils.
En plus de très bien connaître son pays, Jeff est un excellent guide et un personnage très attachant. Il sait se faire aimer et faire aimer son pays.
Pour moi, Jeff est plus qu’un guide… il est un très bon ami. »
Paul Laforest
J’ai eu beaucoup de plaisir à échanger avec Jeff! Quel privilège de pouvoir s’entretenir avec lui grâce aux technologies de nos jours! L’environnement de Madagascar est unique au monde et ces animaux sont tellement captivants, même après les yeux de Madagascar, pas possible d’arrêter!
C’est par l’entremise de M. Paul Laforest, photographe globe-trotteur et ami, que j’ai pris contact avec M. Joseph Muoki au Kenya.
« J’en étais à mon 3e ou 4e voyage au Kenya quand j’ai fait la connaissance de Joseph comme guide dans les parcs africains, principalement le Massaï Mara.
C’est avec lui que je me suis retrouvé au moment de la grande migration dans le Massaï Mara en juillet 2016. En plus d’être un excellent guide, Joseph est un très bon communicateur. Nous étions deux dans la camionnette-safari ce qui nous permettait d’échanger facilement. Joseph était très attentif à mes demandes pour me permettre de faire les meilleures photos possibles avec les animaux très nombreux de cette période.
Grâce à lui, j’ai pu me rendre à deux reprises au lac Bogoria situé au nord du Kenya. Ce lac est le lac par excellence pour la rencontre des Flamands roses, environ 2 000 000.
Si j’ai pu rouler en camionnette sur une centaine de kilomètres dans le rift africain, ce qui est très inhabituel pour des voyageurs, c’est aussi grâce à Joseph.
En 2019, lorsque j’ai dû être hospitalisé à Nairobi suite à une chaleur très intense au lac Turkana situé près de la frontière de l’Éthiopie, je dois dire merci à Joseph. Durant mes 5 jours dans un hôpital privé de la capitale du Kenya, Joseph était près de mon lit pour me servir d’interprète auprès du personnel de l’hôpital.
Joseph est plus qu’un guide, il est un ami. »
Paul Laforest
Joseph est un homme généreux et inspirant! La faune qui l’entoure est si impressionnante et fascinante! Collaborer avec lui a été un réel plaisir.
C’est par l’entremise de M. Paul Laforest, photographe globe-trotteur et ami, que j’ai pris contact avec M. Joseph Muoki au Kenya.
Joseph est un homme généreux et inspirant! La faune qui l’entoure est si impressionnante et fascinante! Collaborer avec lui a été un réel plaisir.